Politique éditoriale
La politique éditoriale de la RELEXT fait de celle-ci une revue scientifique et professionnelle ; ce qui suggère une incidence sur le public visé, les contenus, les auteurs des contenus, la longueur des contenus, le Peer review et l’utilité des travaux. Elle appréhende la recherche à finalité professionnelle comme étant indispensable pour rompre avec les revues « à l’ancienne », tout en permettant de participer au débat ou à l’échange de pratiques entre professionnels dans le domaine de l’extraction. Les multinationales extractives, comme les Etats et les territoires, manifestent un besoin accru d’information à forte valeur ajoutée sur l’extractivisme contemporain notamment, pour prendre en compte les enjeux sociétaux, environnementaux et développementalistes, la décarbonation (transition écologique), les changements climatiques, le développement durable, l’éthique des affaires et le management de la qualité c’est-à-dire, la progression continue des systèmes, qui constitue l’avenir du droit et de la gestion, en particulier dans le secteur extractif qui nous intéresse. Ce qui permet d’anticiper les ruptures potentielles d’un environnement de risques d’affaires liés eux-mêmes aux risques sociaux et environnementaux, au cœur des enjeux et des standards de la gouvernance extractive contemporaine.
A travers sa dimension territoires, la revue prend en compte la société civile et les communautés autochtones et riveraines des sites miniers qui sont les premières à être affectées par les activités extractives. Elle porte un regard critique sur les politiques à travers des expériences terrain dans ces communautés. Elle est donc un espace pour celles-ci afin de les aider à défendre leurs droits.
Faisant place à une vision plus technique et très professionnelle, aux personnes ayant les mains dans le cambouis, la revue accueille à cet effet, en langue anglaise ou française, les travaux des professionnels du secteur de l’extraction (avocats spécialisés, juristes et autres experts d’entreprises extractives, hauts fonctionnaires du secteur extractif, Entrepreneurs, OSC du secteur, cadres dirigeants ou cadres opérationnels du secteur, etc.). Elle est ainsi un espace de formulation des recommandations à la lex extractiva communautaris. Si les universitaires jouent un rôle de leader en matière de recherche, ils ne sont plus « les seuls capables – ni forcément les plus à même – de produire un savoir réellement recyclable dans l’action ». (Odile Contat et Anne-Solweig Gremilet, 2015). Lorsque les professionnels « savent prendre du recul sur leurs pratiques, ils sont réellement susceptibles de modéliser et de conceptualiser à partir des situations qu’ils rencontrent. La qualité de leurs observations et questionnements est irremplaçable en ce qu’ils expérimentent, valident ou invalident les concepts et outils mis au point par la communauté académique ». (Odile Contat et Anne-Solweig Gremilet, 2015) Toutefois, la RELEXT n’occulte pas l’apport des chercheurs universitaires. De même, les contributions retenues font l’objet d’un avis favorable en « double aveugle » par les pairs, dont le comité scientifique comprend de nombreux experts internationaux des deux bords (professionnels et universitaires). La RELEXT est soumise aux normes éthiques et de qualité élevées afin de garantir son indexation chez WoS et/ou chez SCOPUS. Elle n’accepte pas des rééditions. Elle accueille exclusivement des contributions originales, issues d’un champ pluridisciplinaire exhaustif comme les sciences juridiques et politiques (analyses, chroniques et commentaires de législation, de médiation, d’arbitrage et de décisions juridictionnelles prises. Les analyses montrent comment l’état du droit dans lequel se déploie l’industrie extractive, et comment les vides juridiques peuvent être, progressivement comblés, mettant en exergue l’effectivité des possibilités de justice qui se présentent dans un contexte judiciaire en pleine évolution, affirmant l’hypothèse d’une responsabilité extractive juridictionnelle et non juridictionnelle -ombudsman extractif, ONU, juge-, etc.). Elle accueille aussi naturellement les sciences économiques et de gestion, la sociologie, l’anthropologie sociale (systèmes de gestion multi niveau et partenariale, gouvernance inclusive et trilatéralisme, approche critique de l’extractivisme qui remet en cause le modèle de développement sous certaines conditions, critiques sur les politiques à travers une expérience terrain dans les communautés autochtones et riveraines vivant à proximité des sites miniers et pétroliers onshore, en particulier dans les pays en voie de développement). La revue peut accueillir exceptionnellement des contributions déjà publiées en d’autres langues que l’anglais et le français. Dans ce cas la mention de la référence et de l’autorisation de l’éditeur sont exigées par la RELEXT. .
A travers sa dimension territoires, la revue prend en compte la société civile et les communautés autochtones et riveraines des sites miniers qui sont les premières à être affectées par les activités extractives. Elle porte un regard critique sur les politiques à travers des expériences terrain dans ces communautés. Elle est donc un espace pour celles-ci afin de les aider à défendre leurs droits.
Faisant place à une vision plus technique et très professionnelle, aux personnes ayant les mains dans le cambouis, la revue accueille à cet effet, en langue anglaise ou française, les travaux des professionnels du secteur de l’extraction (avocats spécialisés, juristes et autres experts d’entreprises extractives, hauts fonctionnaires du secteur extractif, Entrepreneurs, OSC du secteur, cadres dirigeants ou cadres opérationnels du secteur, etc.). Elle est ainsi un espace de formulation des recommandations à la lex extractiva communautaris. Si les universitaires jouent un rôle de leader en matière de recherche, ils ne sont plus « les seuls capables – ni forcément les plus à même – de produire un savoir réellement recyclable dans l’action ». (Odile Contat et Anne-Solweig Gremilet, 2015). Lorsque les professionnels « savent prendre du recul sur leurs pratiques, ils sont réellement susceptibles de modéliser et de conceptualiser à partir des situations qu’ils rencontrent. La qualité de leurs observations et questionnements est irremplaçable en ce qu’ils expérimentent, valident ou invalident les concepts et outils mis au point par la communauté académique ». (Odile Contat et Anne-Solweig Gremilet, 2015) Toutefois, la RELEXT n’occulte pas l’apport des chercheurs universitaires. De même, les contributions retenues font l’objet d’un avis favorable en « double aveugle » par les pairs, dont le comité scientifique comprend de nombreux experts internationaux des deux bords (professionnels et universitaires). La RELEXT est soumise aux normes éthiques et de qualité élevées afin de garantir son indexation chez WoS et/ou chez SCOPUS. Elle n’accepte pas des rééditions. Elle accueille exclusivement des contributions originales, issues d’un champ pluridisciplinaire exhaustif comme les sciences juridiques et politiques (analyses, chroniques et commentaires de législation, de médiation, d’arbitrage et de décisions juridictionnelles prises. Les analyses montrent comment l’état du droit dans lequel se déploie l’industrie extractive, et comment les vides juridiques peuvent être, progressivement comblés, mettant en exergue l’effectivité des possibilités de justice qui se présentent dans un contexte judiciaire en pleine évolution, affirmant l’hypothèse d’une responsabilité extractive juridictionnelle et non juridictionnelle -ombudsman extractif, ONU, juge-, etc.). Elle accueille aussi naturellement les sciences économiques et de gestion, la sociologie, l’anthropologie sociale (systèmes de gestion multi niveau et partenariale, gouvernance inclusive et trilatéralisme, approche critique de l’extractivisme qui remet en cause le modèle de développement sous certaines conditions, critiques sur les politiques à travers une expérience terrain dans les communautés autochtones et riveraines vivant à proximité des sites miniers et pétroliers onshore, en particulier dans les pays en voie de développement). La revue peut accueillir exceptionnellement des contributions déjà publiées en d’autres langues que l’anglais et le français. Dans ce cas la mention de la référence et de l’autorisation de l’éditeur sont exigées par la RELEXT. .